Québec全面介绍(法文)
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Le Québec est une province canadienne avec une population de 7 467 62
6 habitants (Québécois) (Satistique Canada, 2003). La plupart des ha
bitants parle la langue fran?aise, faisant du Québec l’endroit où o
n retrouve le plus de Canadiens francophones. La capitale est la ville
de Québec et la métropole est Montréal.
Le Québec est situé à l’est du Canada, bordé par l’Ontario et la
baie d’Hudson à l’ouest, l’océan Atlantique à l’est, les état
s-Unis (Maine, New Hampshire, Vermont et l’état de New York) au sud
et l’océan Arctique au nord.
La province, la plus grande du Canada, occupe un vaste territoire (six
fois la superficie de la France), dont la majeure partie est très pe
u densément peuplée. Plus de 90 pourcent de la superficie du Québec
fait partie du bouclier canadien, un grand territoire qui, historique
ment, était appelée la région d’Ungava. Au temps de la Nouvelle-Fr
ance, le Québec consistait en une lisière de terre de seulement quel
ques kilomètres de large longeant le fleuve St-Laurent, où les premi
ers colons se sont installés pour cultiver la terre. En 1912, une par
tie majeure de la région d’Ungava canadienne, appartenant auparavent
aux Territoires-du-Nord-Ouest, a été intégrée au Québec par le P
arlement du Canada. Cette région du nord vaste et pratiquement inhabi
tée a créé la province du Québec massive comme on la connait aujou
rd’hui. Cette addition à la province bordait la baie James, où les
trois plus grands projets hydroélectriques de la province ont été c
onstruits (sur la rivière La Grande).
Le Québec (brun) en 1867
Le territoire du Québec est extrêmement riche en ressources avec ses
forêts de conifères, ses lacs et ses rivières; le papier, le bois
et l’hydroélectricité sont parmi les plus importantes industries de
la province. L’extrême nord du Québec, appelé Nunavik, est arctiq
ue ou subarctique et est la terre de la nation Inuit.
La région la plus peuplée est la vallée du fleuve Saint-Laurent, da
ns le sud, où la capitale, Québec, et la métropole, Montréal, sont
situées. Au nord de Montréal se trouvent les Laurentides, la plus v
ieille cha?ne de montagnes du monde, et à l’Est, les Appalaches se r
endent jusqu’aux "Cantons de l’Est". La péninsule gaspésienne s’é
tend dans le Golfe du Saint-Laurent à l’est. La vallée du Saint-Lau
rent est une région fertile, où sont produits des fruits, végétaux
, produits laitiers, du sirop d’érable (le Québec en est le plus gr
and producteur au monde) et du bétail.
Les habitants du Québec sont appellés les Québécois.
Québec (brun) en 2002
Histoire du Québec
Le Québec était habité par les Premières Nations avant l’arrivée
des Fran?ais et l’est encore aujourd’hui - l’état Québécois rec
onna?t 11 nations autochtones sur son territoire. Les Mohawks, les Inn
us Montagnais, les Cris, les Inuit, les Algonquins, les Atikameks, les
Micmacs, les Hurons-Wendat, les Abénaquis, et les Naskapis.
Le premier explorateur européen du Québec est le Fran?ais Jacques Ca
rtier, qui a planté une croix à Gaspé en 1534 et a navigué sur le
fleuve Saint-Laurent en 1535. C’est Samuel de Champlain qui a fondé
la ville de Québec en 1608; la ville est devenue le noyau de la Nouve
lle-France et le point de départ de l’exploration fran?aise de l’Am
érique du Nord. Après 1627, le roi de la France Louis XIII a interdi
t la colonisation de quiconque autre que les Catholiques, assurant que
l’éducation et la santé soient prises en charge uniquement par l’
église. La Nouvelle-France est devenue une colonie royale en 1663 sou
s le règne du roi Louis XIV et de l’intendant Jean Talon.
Les Fran?ais, devenus Canadiens, se sont alliés avec les Hurons contr
e les Iroquois, qui étaient les alliés des Anglais. Les guerres entr
e l’Angleterre et la France en Europe et en Amérique du Nord se sont
conclues en 1759 par la défaite de Louis-Joseph de Montcalm face au
général anglais James Wolfe, sur les Plaines d’Abraham, près de Qu
ébec.
La Grande-Bretagne a acquis la Nouvelle France par le traité de Paris
, en 1763, quand le roi Louis XV et ses conseillers ont choisi de gard
er la Guadeloupe pour son sucre plut?t que le Québec, qui était vu c
omme un vaste territoire gelé sans importance aux yeux de l’Empire F
ran?ais. En réponse aux agitations de ses colonies américaines, la c
ouronne britannique instaure l’Acte de Québec en 1774, restaurant le
code civil fran?ais mais gardant le code criminel anglais. Durant la
révolution américaine, la ville de Montréal est prise et les révol
utionnaires américains tentent de rallier les Canadiens à leur cause
. Les Canadiens restent plut?t neutres dans le conflit, suivant les re
commandations de l’église catholique qui prend le parti des Britanni
ques.
Suite à l’indépendance américaine, des Loyalistes s’installent au
Québec. Révoltés par les nombreux privilèges accordés aux Canadi
ens, ils demandent des réformes et optiennent ce qu’ils veulent dans
l’acte constitutionnel de 1791 qui divise la région à la rivière
Ottawa, créant le Haut-Canada (Ontario d’aujourd’hui) et le Bas-Can
ada (Québec d’aujourd’hui). Les deux populations découvrent le par
lementarisme britannique. Très rapidement, les populations des deux C
anadas se rendent compte des limites de ce système colonial.
Les grandes idées du libéralisme de l’époque finissent par provoqu
er un soulèvement armé dans le Bas-Canada et le Haut-Canada en 1837;
la révolte a lieu suite au refus de Londres de donner suite aux dema
ndes du parti Patriotes de Louis-Joseph Papineau. Les rébéllions fur
ent écrasées et par la suite le rapport de Lord Durham, envoyé par
Londres pour faire enquête, recommande l’assimilation des Canadiens
fran?ais par l’union des deux Canadas et un [gouvernement responsable
]]. L’Union de 1840 est votée à Londres, mais il faut attendre 1849
pour voir le gouvernement responsable appara?tre, sous les réformist
es Robert Baldwin du Haut-Canada et Louis-Hippolyte Lafontaine du Bas-
Canada.
L’Union est instable, et quand la Province du Canada joint le Nouveau
-Brunswick et la Nouvelle-écosse lors de la confédération (1867), e
lle a été divisée une fois de plus, formant les provinces du Québe
c et de l’Ontario.
Histoire politique récente
Lorsque le Québec devint l’une des quatre provinces fondatrices de l
a Confédération, des garanties quant à la conservation de son langa
ge, de sa culture et de sa religion furent spécifiquement écrites da
ns la Constitution; le fran?ais et l’anglais sont alors devenus les l
angues officielles du Canada et un double système d’éducation a ét
é établi au Québec, basé sur la religion (l’éducation est respon
sabilité provinciale). Dans les années 1990, le système fut enfin d
éconfessionnalisé.
Le Québec a été très religieux durant son histoire; le régime col
onial tire à sa fin vers les années 1950, sous le gouvernement de l’
Union Nationale de Maurice Duplessis, qui a maintenu le contr?le relig
ieux sur les services sociaux comme les écoles et les h?pitaux. En re
tour, le clergé utilisait son influence pour convaincre les voteurs d
e garder ce gouvernement conservateur, qui a aussi pris des mesures co
ntre la réforme sociale et le syndicalisme. Sous le gouvernement Libé
ral de Jean Lesage, le pouvoir de l’église s’est vu grandement affa
ibli. Durant les années 1960, le Québec entre dans une grande phase
de décolonisation et de modernisation accélérée. C’est cette pér
iode que l’on nomme la Révolution Tranquille.
La décolonisation du Québec ramène l’idée de l’indépendance et
le mouvement souverainiste prend forme tranquillement. C’est aussi en
1970 que s’est formé le Parti Québecois, un parti souverainiste di
rigé par René Lévesque. C’est ce parti qui a gagné les élections
provinciales et qui a instauré une série de lois faisant la promoti
on de l’usage du Fran?ais. (Le Fran?ais devint le seul langage offici
el en 1974.)
En 1980, le projet de Lévesque, appelé souveraineté-association, a
été rejeté par la population lors d’un référendum. Le gouverneme
nt canadien adopte une nouvelle constitution en 1982 sans l’accord du
Québec. De 1985 à 1994, le Parti Libéral du Québec a gouverné so
us Robert Bourassa et Daniel Johnson Jr. ; l’avancement sur la problé
matique constitutionnelle a résulté en l’accord du lac Meech (1987)
, mais celui-ci a échoué en 1990. Une autre entente, l’accord de Ch
arlottetown, qui devait résoudre une longue liste de problèmes en pl
us de régler la relation du Québec avec le reste du Canada, a été
rejeté par un référendum à la grandeur du pays, en 1992.
Le Parti Québécois a été réélu en 1994, alors mené par Jacques
Parizeau, qui a tenu un autre référendum sur la souveraineté. Le 30
octobre 1995, la mesure a été rejetée par une très faible marge,
moins d’un pour cent, pour laquelle le Parti Libéral de Jean Chréti
en fut très critiqué. Jacques Parizeau démissionne et est remplacé
par le chef du Bloc Québécois fédéral, Lucien Bouchard. Sous le g
ouvernement de Bouchard, l’option souverainiste est mise en veilleuse
..
Pour le moment, la question nationale du Québec n’est toujours pas r
églée.
Symboles provinciaux
La devise nationale du Québec est Je me souviens; elle est gravée su
r le batiment de l’Assemblée Nationale à Québec.
L’emblème du Québec est le fleur-de-lis, habituellement sur un fond
bleu, comme sur le drapeau provincial (voir plus haut), appelé le Fl
eurdelisé, symbole de la monarchie francaise.
L’emblème floral est l’iris versicolore. Auparavant l’emblème ét
ait le lis blanc, pour rappeler le fleur-de-lis de la monarchie fran?a
ise, mais il a été changé pour l’iris car le lis ne pousse pas au
Québec.
L’oiseau provincial du Québec est l’harfang des neiges.
Le saint patron du Canada fran?ais était Saint Jean-Baptiste. La Sain
t-Jean-Baptiste, fêtée le 24 juin, est maintenant la fête nationale
du Québec.
Le Québec est une province canadienne avec une population de 7 467 62
6 habitants (Québécois) (Satistique Canada, 2003). La plupart des ha
bitants parle la langue fran?aise, faisant du Québec l’endroit où o
n retrouve le plus de Canadiens francophones. La capitale est la ville
de Québec et la métropole est Montréal.
Le Québec est situé à l’est du Canada, bordé par l’Ontario et la
baie d’Hudson à l’ouest, l’océan Atlantique à l’est, les état
s-Unis (Maine, New Hampshire, Vermont et l’état de New York) au sud
et l’océan Arctique au nord.
La province, la plus grande du Canada, occupe un vaste territoire (six
fois la superficie de la France), dont la majeure partie est très pe
u densément peuplée. Plus de 90 pourcent de la superficie du Québec
fait partie du bouclier canadien, un grand territoire qui, historique
ment, était appelée la région d’Ungava. Au temps de la Nouvelle-Fr
ance, le Québec consistait en une lisière de terre de seulement quel
ques kilomètres de large longeant le fleuve St-Laurent, où les premi
ers colons se sont installés pour cultiver la terre. En 1912, une par
tie majeure de la région d’Ungava canadienne, appartenant auparavent
aux Territoires-du-Nord-Ouest, a été intégrée au Québec par le P
arlement du Canada. Cette région du nord vaste et pratiquement inhabi
tée a créé la province du Québec massive comme on la connait aujou
rd’hui. Cette addition à la province bordait la baie James, où les
trois plus grands projets hydroélectriques de la province ont été c
onstruits (sur la rivière La Grande).
Le Québec (brun) en 1867
Le territoire du Québec est extrêmement riche en ressources avec ses
forêts de conifères, ses lacs et ses rivières; le papier, le bois
et l’hydroélectricité sont parmi les plus importantes industries de
la province. L’extrême nord du Québec, appelé Nunavik, est arctiq
ue ou subarctique et est la terre de la nation Inuit.
La région la plus peuplée est la vallée du fleuve Saint-Laurent, da
ns le sud, où la capitale, Québec, et la métropole, Montréal, sont
situées. Au nord de Montréal se trouvent les Laurentides, la plus v
ieille cha?ne de montagnes du monde, et à l’Est, les Appalaches se r
endent jusqu’aux "Cantons de l’Est". La péninsule gaspésienne s’é
tend dans le Golfe du Saint-Laurent à l’est. La vallée du Saint-Lau
rent est une région fertile, où sont produits des fruits, végétaux
, produits laitiers, du sirop d’érable (le Québec en est le plus gr
and producteur au monde) et du bétail.
Les habitants du Québec sont appellés les Québécois.
Québec (brun) en 2002
Histoire du Québec
Le Québec était habité par les Premières Nations avant l’arrivée
des Fran?ais et l’est encore aujourd’hui - l’état Québécois rec
onna?t 11 nations autochtones sur son territoire. Les Mohawks, les Inn
us Montagnais, les Cris, les Inuit, les Algonquins, les Atikameks, les
Micmacs, les Hurons-Wendat, les Abénaquis, et les Naskapis.
Le premier explorateur européen du Québec est le Fran?ais Jacques Ca
rtier, qui a planté une croix à Gaspé en 1534 et a navigué sur le
fleuve Saint-Laurent en 1535. C’est Samuel de Champlain qui a fondé
la ville de Québec en 1608; la ville est devenue le noyau de la Nouve
lle-France et le point de départ de l’exploration fran?aise de l’Am
érique du Nord. Après 1627, le roi de la France Louis XIII a interdi
t la colonisation de quiconque autre que les Catholiques, assurant que
l’éducation et la santé soient prises en charge uniquement par l’
église. La Nouvelle-France est devenue une colonie royale en 1663 sou
s le règne du roi Louis XIV et de l’intendant Jean Talon.
Les Fran?ais, devenus Canadiens, se sont alliés avec les Hurons contr
e les Iroquois, qui étaient les alliés des Anglais. Les guerres entr
e l’Angleterre et la France en Europe et en Amérique du Nord se sont
conclues en 1759 par la défaite de Louis-Joseph de Montcalm face au
général anglais James Wolfe, sur les Plaines d’Abraham, près de Qu
ébec.
La Grande-Bretagne a acquis la Nouvelle France par le traité de Paris
, en 1763, quand le roi Louis XV et ses conseillers ont choisi de gard
er la Guadeloupe pour son sucre plut?t que le Québec, qui était vu c
omme un vaste territoire gelé sans importance aux yeux de l’Empire F
ran?ais. En réponse aux agitations de ses colonies américaines, la c
ouronne britannique instaure l’Acte de Québec en 1774, restaurant le
code civil fran?ais mais gardant le code criminel anglais. Durant la
révolution américaine, la ville de Montréal est prise et les révol
utionnaires américains tentent de rallier les Canadiens à leur cause
. Les Canadiens restent plut?t neutres dans le conflit, suivant les re
commandations de l’église catholique qui prend le parti des Britanni
ques.
Suite à l’indépendance américaine, des Loyalistes s’installent au
Québec. Révoltés par les nombreux privilèges accordés aux Canadi
ens, ils demandent des réformes et optiennent ce qu’ils veulent dans
l’acte constitutionnel de 1791 qui divise la région à la rivière
Ottawa, créant le Haut-Canada (Ontario d’aujourd’hui) et le Bas-Can
ada (Québec d’aujourd’hui). Les deux populations découvrent le par
lementarisme britannique. Très rapidement, les populations des deux C
anadas se rendent compte des limites de ce système colonial.
Les grandes idées du libéralisme de l’époque finissent par provoqu
er un soulèvement armé dans le Bas-Canada et le Haut-Canada en 1837;
la révolte a lieu suite au refus de Londres de donner suite aux dema
ndes du parti Patriotes de Louis-Joseph Papineau. Les rébéllions fur
ent écrasées et par la suite le rapport de Lord Durham, envoyé par
Londres pour faire enquête, recommande l’assimilation des Canadiens
fran?ais par l’union des deux Canadas et un [gouvernement responsable
]]. L’Union de 1840 est votée à Londres, mais il faut attendre 1849
pour voir le gouvernement responsable appara?tre, sous les réformist
es Robert Baldwin du Haut-Canada et Louis-Hippolyte Lafontaine du Bas-
Canada.
L’Union est instable, et quand la Province du Canada joint le Nouveau
-Brunswick et la Nouvelle-écosse lors de la confédération (1867), e
lle a été divisée une fois de plus, formant les provinces du Québe
c et de l’Ontario.
Histoire politique récente
Lorsque le Québec devint l’une des quatre provinces fondatrices de l
a Confédération, des garanties quant à la conservation de son langa
ge, de sa culture et de sa religion furent spécifiquement écrites da
ns la Constitution; le fran?ais et l’anglais sont alors devenus les l
angues officielles du Canada et un double système d’éducation a ét
é établi au Québec, basé sur la religion (l’éducation est respon
sabilité provinciale). Dans les années 1990, le système fut enfin d
éconfessionnalisé.
Le Québec a été très religieux durant son histoire; le régime col
onial tire à sa fin vers les années 1950, sous le gouvernement de l’
Union Nationale de Maurice Duplessis, qui a maintenu le contr?le relig
ieux sur les services sociaux comme les écoles et les h?pitaux. En re
tour, le clergé utilisait son influence pour convaincre les voteurs d
e garder ce gouvernement conservateur, qui a aussi pris des mesures co
ntre la réforme sociale et le syndicalisme. Sous le gouvernement Libé
ral de Jean Lesage, le pouvoir de l’église s’est vu grandement affa
ibli. Durant les années 1960, le Québec entre dans une grande phase
de décolonisation et de modernisation accélérée. C’est cette pér
iode que l’on nomme la Révolution Tranquille.
La décolonisation du Québec ramène l’idée de l’indépendance et
le mouvement souverainiste prend forme tranquillement. C’est aussi en
1970 que s’est formé le Parti Québecois, un parti souverainiste di
rigé par René Lévesque. C’est ce parti qui a gagné les élections
provinciales et qui a instauré une série de lois faisant la promoti
on de l’usage du Fran?ais. (Le Fran?ais devint le seul langage offici
el en 1974.)
En 1980, le projet de Lévesque, appelé souveraineté-association, a
été rejeté par la population lors d’un référendum. Le gouverneme
nt canadien adopte une nouvelle constitution en 1982 sans l’accord du
Québec. De 1985 à 1994, le Parti Libéral du Québec a gouverné so
us Robert Bourassa et Daniel Johnson Jr. ; l’avancement sur la problé
matique constitutionnelle a résulté en l’accord du lac Meech (1987)
, mais celui-ci a échoué en 1990. Une autre entente, l’accord de Ch
arlottetown, qui devait résoudre une longue liste de problèmes en pl
us de régler la relation du Québec avec le reste du Canada, a été
rejeté par un référendum à la grandeur du pays, en 1992.
Le Parti Québécois a été réélu en 1994, alors mené par Jacques
Parizeau, qui a tenu un autre référendum sur la souveraineté. Le 30
octobre 1995, la mesure a été rejetée par une très faible marge,
moins d’un pour cent, pour laquelle le Parti Libéral de Jean Chréti
en fut très critiqué. Jacques Parizeau démissionne et est remplacé
par le chef du Bloc Québécois fédéral, Lucien Bouchard. Sous le g
ouvernement de Bouchard, l’option souverainiste est mise en veilleuse
..
Pour le moment, la question nationale du Québec n’est toujours pas r
églée.
Symboles provinciaux
La devise nationale du Québec est Je me souviens; elle est gravée su
r le batiment de l’Assemblée Nationale à Québec.
L’emblème du Québec est le fleur-de-lis, habituellement sur un fond
bleu, comme sur le drapeau provincial (voir plus haut), appelé le Fl
eurdelisé, symbole de la monarchie francaise.
L’emblème floral est l’iris versicolore. Auparavant l’emblème ét
ait le lis blanc, pour rappeler le fleur-de-lis de la monarchie fran?a
ise, mais il a été changé pour l’iris car le lis ne pousse pas au
Québec.
L’oiseau provincial du Québec est l’harfang des neiges.
Le saint patron du Canada fran?ais était Saint Jean-Baptiste. La Sain
t-Jean-Baptiste, fêtée le 24 juin, est maintenant la fête nationale
du Québec.
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2015/6/18 16:33:01